La question des coûts informatiques préoccupe – à juste de titre – de nombreux cabinets. En effet, le sujet n’est pas neutre car, digitalisation oblige, ces coûts sont croissants ces dernières années. Comment bien analyser ces coûts dans leur globalité ? Aperçu des principales composantes à prendre en compte ; un exercice que nos équipes pratiquent régulièrement.
1. Les licences logicielles : un coût récurrent
L’un des postes de dépenses les plus importants d’un SI concerne les licences des logiciels utilisés. Ces licences peuvent être acquises sous forme de paiement unique ou, de plus en plus souvent, sous forme d’abonnements annuels.
Pour estimer ce coût, il convient de :
Répertorier tous les logiciels nécessaires au fonctionnement de l’entreprise. Bien connaître les produits des éditeurs et le contenu des licences permet parfois de réelles économies.
Prenons, par exemple, le cas des antivirus : certains sont compris dans les licences Microsoft 365, donc sans surcoût ce qui est souvent ignoré. Lorsque nos clients nous confient l’hébergement de leur SI, nous analysons précisément chaque détail.
2. Le matériel informatique
Le matériel informatique a une durée de vie limitée et doit être renouvelé régulièrement pour garantir un niveau de performance optimal et limiter les pannes.
Les coûts à prévoir incluent :
Précisons que DBC permet de rentabiliser plus longtemps le parc local. Cette durée est estimée à 2 à 3 ans supplémentaires. Cela s’explique par le fait que l’exploitation de votre production est désormais effectuée depuis nos postes virtuels (sessions VDI) et non plus depuis vos postes locaux, qui ne servent que de « point d’entrée » vers notre cloud.
3. Les équipements réseaux et de sécurité locaux
Un SI performant repose sur une infrastructure réseau fiable et sécurisée. Cela implique l’achat et la maintenance de divers équipements :
Ces matériels nécessitent également une surveillance et des mises à jour régulières, ce qui entraîne des coûts additionnels, tant sur les abonnements de maintenance auprès des constructeurs que sur le maintien des compétences nécessaires.
Sur ce poste également, DBC permet une économie : en effet, vos données n’étant plus hébergées localement, les risques à couvrir sont moindres.
4. La consommation énergétique
L’impact énergétique du SI ne doit pas être sous-estimé, notamment si l’entreprise dispose de serveurs en interne.
Pour réduire et maîtriser ces coûts, il est possible par exemple :
L’analyse détaillée du coût d’un SI doit bien se faire globalement par une approche complète dont les résultats s’avèrent parfois surprenants.
Nos clients sont souvent surpris des « coûts cachés » et des économies faites sur ces derniers dans le cas d’un hébergement Extreme Mobility.
Envie de connaître le coût de votre SI ?
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DBC propose Extreme Mobility, un hébergement cloud hautement sécurisé de votre SI. Il s’agit d’une solution innovante qui fonctionne avec des postes de travail virtualisés (VDI). Extreme Mobility est simple d’utilisation, ultra performante et compatible avec toutes les applications Windows comme avec celles de la profession (ACD, Sage, RevisAudit, Cegid, RCA, Agiris, …). La sécurité de la solution est sans compromis : infrastructures clientes intégralement cloisonnées hébergées dans un datacenter Tier IV, authentification multi facteur, sauvegardes géo-distantes, audits de sécurité et PRA. Vous êtes autonome sur la gestion de vos utilisateurs et de votre consommation grâce au portail d’administration mis à votre disposition. Une solution d’automatisation de vos process métier (RPA/ETL) est également proposée par DBC. La relation clients et le SAV sont assurés par une équipe dynamique et réactive qui dispose de plus de 15 ans d’expérience dans l’hébergement Cloud de cabinets d’expertise comptable.
